"Il faut replacer le Programme national de rénovation urbaine (PNRU) dans le contexte de l’année 2003", commente Bernadette Malgorn, présidente de l’Observatoire national des zones urbaines sensibles (Onzus), qui présentait à la presse, le 22 mai, le rapport d’évaluation du PNRU, remi(…) "Il faut replacer le Programme national de rénovation urbaine (PNRU) dans le contexte de l’année 2003", commente Bernadette Malgorn, présidente de l’Observatoire national des zones urbaines sensibles (Onzus), qui présentait à la presse, le 22 mai, le rapport d’évaluation du PNRU, remis à François Lamy le 4 mars (cf. DIF 1122). "Nous étions dans une phase de diminution du chômage, de croissance des moyens budgétaires, avec des marges de manœuvre importantes, un parc social amorti et un taux de vacance du logement social dans les Zus important" (1). Bref : les conditions étaient idéales pour "passer d’une politique de la rénovation du bâti à (...)