Avec la mise en place de la nouvelle géographie prioritaire de la politique de la ville, l’Etablissement public national d’aménagement et de restructuration des espaces commerciaux et artisanaux (Epareca), qui intervient dans les 1 500 QPV, est de plus en plus sollicité pour redynamiser des quartiers d’urbanisation ancienne. Une évolution qui conduit l’établissement à adapter ses pratiques, explique Valérie Lasek, directrice générale depuis avril dernier.
UI : L’Epareca a signé en juillet son nouveau contrat d’objectifs et de performance (COP). Quelles en sont les grandes lignes ?
Valérie Lasek : C’est un contrat de cinq ans, qui fixe les orientations stratégiques de l’établissement. Ses objectifs ont été vus entre les ministres de tutelle (Commerce, Ville et Aménagement) et l’établissement. La grande (...)
Epareca : "Intervenir dans les territoires en déprise sera plus difficile"
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