A la tribune d’un amphithéâtre de la Grande Arche de La Défense rempli à ras bord, où cinq candidats aux municipales 2020 à Paris exposeront leurs solutions pour lutter contre le mal-logement quelques minutes plus tard (lire notre article), Julien Denormandie, ministre chargé de la Ville et du Logement, avait la lourde tâche de conclure une matinée consacrée au 25e rapport de la Fondation Abbé Pierre, le 31 janvier. Parfois interrompu par son auditoire – "c’est du bluff !" -, souvent poussé dans ses retranchements par Christophe Robert, délégué général de cette même fondation, animé "par un changement d’échelle nécessaire dans les mesures gouvernementales", il a convenu de la "gravité du moment". Extraits : "la situation n’est pas satisfaisante. Nous sommes face à une crise humanitaire, ici et là, et je ne suis pas là pour vous dire que je ne vois pas la réalité. Le chemin à prendre, nous le connaissons tous : produire plus de logements (...)
La Fondation Abbé Pierre demande des "moyens supplémentaires"
Outils
TAILLE DU TEXTE
- Font Size
- Default
- Mode de lecture